Les mondes post-apocalyptiques. Un milieu qui vous évoque forcément un profond souvenir. Chacun d’entre vous à au moins une fois foulé ces terres que ce soit par le biais de lectures avec notamment la saga « Autre Monde » de l’écrivain Maxime Chattam. Ou bien grâce à des séries ou des films avec « The 100 », « The Walking Dead », ou encore « Je suis une légende ». Un monde où l’humanité, quasiment éradiquée, a perdu ses droits et où la nature, mère de toutes choses s’est de nouveau auto-proclamée Reine. Et si l’œuvre de l’homme venait à être utilisée contre son créateur ? Je veux dire, si la nature s’appropriait le travail de l’homme s’étalant sur plusieurs siècles pour à elle seule, créer un monde nouveau et hostile envers l’humain. Un monde où le métal ferait partie intégrante de cette nature, qu’il serait recouvert de mousse, de branches ou de vase. Que l’homme qui était jadis au sommet de la chaîne alimentaire se retrouvait finalement classé au sous sol d’un immeuble de 60 étages ? Certaines œuvres vidéo-ludiques proposent des scénarios où la civilisation humaine a été anéantie dans sa quasi totalité, laissant place à des vestiges de l’ancien monde dans des décors absolument splendides contrairement à l’histoire qui a amené la destruction de notre patrimoine. Je vous propose aujourd’hui de vous faire voyager. De vous emmener dans un futur, que nous ne verrons probablement jamais. Dans un premier temps en 2’160 dans l’univers de Enslaved : Odyssey To The West, puis dans les années 3’000 aux côtés de Aloy dans Horizon Zero Dawn. Je vous ramènerais en 2020 à l’issue je vous le promets, même si avec ce qu’il se passe de nos jours vous n’aurez peut être pas envie de revenir …


D’une Pérégrination ancestrale à une Odyssée futuriste.
Avant que vous ne preniez place dans cette navette, j’ose espérer que vos vaccins sont à jours, parce que si on ne s’apprête pas à voir des animaux à trois têtes ou des champignons mangeurs d’hommes, sachez que des robots rouillés porteurs du tétanos avec une haine pour la race humaine, c’est pas dit qu’on en croise pas deux ou trois. Monkey est un homme solitaire ayant vécu dans ce monde ravagé par la guerre. Il tente de survivre chaque jour dans ces terres en tentant de fuir des robots qui le tueraient ou le réduiraient en esclavage. Faute d’inattention, ou peut être malchanceux, Monkey fut un jour capturé. Alors qu’il se trouve à bord d’un vaisseau dans une cellule exiguë, l’une des prisonnières, capturée également parvint à s’échapper de sa cellule. Monkey lui demanda de le libérer. Effrayée par l’homme elle prit la fuite, le laissant à une mort certaine. Par « Miracle », le vaisseau eu un dysfonctionnement interne et il commença alors à chuter et à se désagréger peu à peu. Monkey pu alors se libérer pour se précipiter vers la dernière capsule de sauvetage présente sur le vaisseau … Déjà empruntée par la femme aperçue quelques minutes plus tôt. S’en suivi une scène plutôt comique où Monkey la regarda dans les yeux, lui sur la capsule, elle dedans, la suppliant de ne pas décoller, et quelques secondes plus tard ils s’envolèrent à bord de la navette pendant que l’immense vaisseau s’écrasa dans de frêles vestiges du passé dans un fracas assourdissant. La navette s’écrasa dans la nature.
A son réveil, Monkey fut victime de douleurs terribles au crâne et senti quelque chose de lourd sur sa tête . La jeune femme qui se trouvait dans la navette quelques heures avant se trouvait devant lui, assise les bras autour de ses genoux. L’homme lui demanda pourquoi une couronne métallique se trouvait sur sa tête. Elle lui dit alors qu’elle en était à l’origine. Cette chose était une couronne qui le liait à la jeune femme. Si il lui prenait l’envie de l’attaquer, ou de l’abandonner. Il mourrait. Il en était de même si elle venait à perdre la vie, Monkey disparaîtrait également. Forcé de coopérer, il demanda le nom de la jeune femme. Trip. Elle se trouve être extrêmement intelligente et amatrice de robotique, ce qui sera une grande aide pour le pauvre prisonnier. C’est ainsi que leur aventure commença, contre le gré de l’homme.
L’histoire de Monkey et Trip est tiré d’une œuvre chinoise du nom de « La Pérégrination vers l’Ouest » qui relate l’épopée d’un moine qui parcourt l’Asie de la Chine à l’Inde dans l’espoir de traduire des parchemins ancestraux en chinois. Durant son périple il est accompagné à l’image de Trip de plusieurs personnages qui l’aideront dans sa quête. La quasi totalité des personnages principaux de ce roman asiatique est représenté dans Enslaved de façon plus ou moins fidèle. Xuan zang, le Bonze cherchant à parcourir l’Asie en quête de savoir est accompagné par 4 grands maîtres chargés de le protéger à savoir : Sun Wukong, le roi Singe représenté par Monkey, Longwang sanjun « Le Cheval Dragon-Blanc » représenté par la moto de Monkey qui fera office de monture, Zhu Bajie un cochon anthropomorphe qui s’avèrera être représenté par Pigsy, un homme corpulent « allié » de Monkey et Trip. Et enfin le dernier qui lui n’est pas représenté dans le jeu crée par Ninja Theory, Sha Wujing le maître des sables. On peut donc en conclure que le rôle du Bonze en quête de savoir au travers de l’Asie est tenu par Trip.
Le jeu fait également référence à d’autres œuvres, tel que « Dragon Ball« . Une des armes de Monkey est un bâton étirable robuste et fin comme celui de Sangoku dans son enfance. Vous aurez également la possibilité de vous déplacer au dessus de l’eau à bord de ce qu’appelle Monkey, le Nuage. Il s’agit en fait d’une plate forme crée à base de champs électromagnétique vous permettant de vous déplacer. Il n’est pas sans rappeler le board dont se sert Jak dans Jak And Daxter II et III.
Les similitudes entre l’œuvre chinoise et Enslaved ne s’arrêtent pas uniquement aux personnages puisque le périple du Bonze en quête de vérité se reflète également dans celui de Monkey et de Trip qui eux cherchent à comprendre où vont les esclaves et que sont-ils amenés à faire. La force des choses les mènera alors au sein de « Pyramid ». Une immense bâtisse où sont regroupés l’intégralité des esclaves capturés par les différents êtres robotiques. Le responsable de cet esclavagisme ne se sert pas des humains afin qu’ils réalisent ces souhaits. Il les plonge dans un sommeil éternel et leur diffuse des images de notre époque actuel. Un monde que l’esclavagiste jugeait meilleur que celui dans lequel ils se trouvent. Comme une sorte de devoir de mémoire. Un perpétuel transfert de souvenirs provenant d’humains de l’époque contemporaine les plongeant dans une sphère de bien être constant. À l’abri de la vérité et de la dangerosité de leur monde jusqu’à ce qu’ils décèdent. La question que j’aimerais vous poser maintenant, au delà de ce que vous avez pu voir ou entrevoir dans notre voyage est la suivante. Préfèreriez vous cesser de vivre et être aveuglé par des images positives obsolètes jusqu’à ce que votre cœur défaille. Ou bien vivre, en tentant de survivre au monde réel et ce peu importe le danger qui rôde autour de vous et de vos proches si tant est que vous en ayez ? Choix cornélien n’est-ce pas ?
Enslaved : Odyssey To The West est irréfutablement lié à l’œuvre chinoise « La Pérégrination vers l’ouest » À l’image de Trip, le Bonze lui part en quête de savoir et de révélation. Une Odyssée ou une Pérégrination spirituelle en quête de connaissance ou de réponses à leurs plus profondes interrogations, où diverses menaces tenteront d’empêcher nos protagonistes d’atteindre leurs buts.
Une merveilleuse Odyssée.
Le merveilleux destin d’une rejetée.
Nous voici plusieurs siècles plus loin mes amis. Comme vous pouvez le voir, les infrastructures que nous connaissons existent toujours par le biais de quelques vestiges fragiles qui résistent encore au fil des années mais qui demeurent moins présents qu’en 2160. Bienvenue en 3’000. 840 ans après. Je vais vous demander de laisser Monkey et Trip de côté pour le moment et de découvrir Aloy. Une petite orpheline qui s’est faite rejeter de sa tribu car sa naissance demeurant un mystère, elle inspire la peur aux autres membres de son clan qui la voient comme une malédiction. Elle fut recueillie par un homme nommé Rost, un homme d’une douceur et d’une gentillesse infinie. Un homme qui prit soin de la petite Aloy comme de sa fille, et elle le considéra comme son père. C’était un homme solitaire qui était également, comme Aloy, un parias, un homme banni par sa tribu et voué à errer et à survivre dans ce monde. La jeune fille grandit, et fit un jour la découverte malgré elle d’une grotte où se trouvaient des vestiges d’une époque antérieur qui est la notre, « l’âge de métal ». Elle y trouva dedans un Focus de la taille d’une pouce lui permettant de « scanner » son environnement. Les animaux, les machines, certains fichiers audio qui se trouvaient dans cette grotte faisant naître en elle des milliers de questions. Elle découvrit qu’avant sa naissance, un monde fascinant existait, un monde ancien, que peu de gens connaisse. Le temps passant, son besoin de connaître ses origines devint de plus en plus grand et Rost ne pouvait s’y soustraire. Pour cela elle allait devoir rejoindre sa tribu « natale », en participant à « L’éclosion ». Un examen ouvert à tous qui, si elle parvenait à le réussir, lui permettrait de poser ses questions aux Matriarches, des érudites très respectées qui pourraient alors lui répondre. D’où vient elle ? Et que peut-on apprendre de l’âge de métal ? Qu’est ce qui a pu mener à la destruction de cette époque et d’où proviennent les robots qui ont fait chuter la race humaine de la première place de la chaîne alimentaire à l’une des dernières ?
L’aventure de Aloy sera périlleuse, elle devra puiser en elle une force qu’elle ne soupçonnait pas. Elle qui a tant été rejetée, parviendra t-elle à convaincre les Noras de sa bienveillance et de son envie d’aider son prochain ? Arrivera t-elle à venir à bout des machines qui siègent en maître sur ce monde si énigmatique ? Pourra t-elle apprendre l’identité de ses parents, si tant est qu’ils existent … Ces questions trouveront réponses. Les interrogations autour de l’âge de Métal se dissiperont et les origines de Aloy s’avèreront déroutantes. Pour le bien du jeu, je ne peux vous en dire plus. Horizon Zero Dawn est un jeu qui mérite d’être découvert, et non conté.
Si l’aventure de la jeune femme se déroule dans un monde post-apocalyptique où les ruines d’immeubles tirent sacrément la gueule, le monde est tout ce qu’il y a de plus joli, la verdure est omniprésente partout où nos pieds se posent. La beauté des paysages et des décors proposés par cette épopée laissent parfois difficilement croire que l’homme, ses grues, ses immeubles et ses centre commerciaux avaient jadis vécu ici. L’apparition des robots dans ce monde et d’un virus les rendant extrêmement hostiles est un mystère éphémère et ils ajoutent une touche novatrice au jeu. Le piratage de certains robots pour pouvoir les monter et se déplacer plus rapidement sont des « features » que nous ne retrouvons pas par exemple dans Enslaved. A savoir que contrairement à ce dernier, la faune animalière que nous connaissons vous et moi subsiste toujours dans les vastes étendues verdoyantes d’Horizon Zero Dawn. Des sangliers, des renards, des poules se mélangent aux multiples robots que nous pouvons croiser, permettant au joueur de s’identifier d’autant plus dans ce monde qu’il pourrait transvaser avec le sien.
Dans l’aventure que nous propose Aloy, nous avons, par le biais du focus qu’elle a trouvé dans cette grotte étant petite, la possibilité d’apercevoir des flashbacks montrant des constructions anciennes de « l’âge de métal » rappelant au joueur une nouvelle fois, que derrière les tribus que nous croisons dans notre épopée, que derrière leur mode vie proche historiquement de l’âge de pierre, l’homme était évolué et qu’il a subit, en presque 1’000 ans une régression absolument colossale le rendant presque primitif. Le dicton « Chasser ou être chassé » prends un tout autre sens.

Des destins éloignés pour un objectif commun.
Vous voici de nouveau chez vous. J’espère que ce voyage aura été instructif vis à vis de ces 3 œuvres en comptant la Pérégrination vers l’Ouest. L’univers post-apocalyptique est un domaine fascinant et différent selon les œuvres. Le monde radioactif de Fallout est loin de l’univers de Enslaved ou d’Horizon et pourtant il s’agit bien d’œuvres au monde post apocalyptique. Certains joueurs n’ont pas apprécié l’ambiance d’Horizon car elle semblait encore bien trop « humaine », trop proche d’un futur qui peut encore arriver, loin des monstres gavés de radioactivité qui ont tant fait rêver les joueurs du monde entier.
Néanmoins, les jeux ont au moins le mérite de nous faire réfléchir et de nous faire relativiser sur notre époque actuelle. Si certains fantasment sur un monde où chevaucher des machines et se battre à coup de lances tels des guerriers légendaires est une futilité, le confort que nous connaissons pour la plupart aujourd’hui n’existerait plus et nous ferait revenir à une précarité qui je pense, ferait énormément de mal à ceux qui ne se rendent pas compte de la chance qu’ils ont de vivre à notre époque.
Les deux voyages que nous offrent Enslaved Odyssey to the West et Horizon Zero Dawn sont des remises en questions constantes sur nos agissements et sur l’avancement de la technologie, une science qui pourra peut être finir incontrôlable aux mains de l’homme et qui pourrait signifier un grand danger pour l’être humain. Au delà de ça c’est une véritable quête de savoir et de connaissance dans laquelle se lance Monkey/Trip et Aloy, une quête qui s’avèrera vitale puisque l’avenir de la race humaine sera en jeu, et ils apprendront à leurs dépends, que le savoir et la sagesse s’acquiert en passant par de multiples sacrifices.
Merci à vous d’avoir pris le temps de faire ce voyage avec moi ! J’espère que cela vous aura plu, on se retrouve dans quelques semaines pour un nouvel article, d’ici là portez vous bien, des bisous !
Ju’
Sans le savoir tu as éveillé pas mal de souvenirs avec Enslaved. Je me souviens encore avoir testé le jeu à la Fnac avant d’avoir la chance de pouvoir posséder la console. L’inspiration du « voyage vers l’ouest » m’avait toujours intrigué et je m’en veux d’être passée à côté de ce jeu. (Il y en a tellement, qui sait, un jour, j’aurais l’occasion d’y jouer) L’écriture post-apo de Horizon m’avait justement plu par son originalité : pas de virus, pas de société tentant de se reconstruire à l’identique du passé, mais une nouvelle ère qui s’est crée. Comme si, après destruction, l’humanité devait repartir sur ses bases pour totalement se reconstruire. Sans compter toutes les réflexions sur la filiation rien qu’avec le système matriarcal de la tribu et les origines de Aloy. Je crois qu’on a tous hâte de découvrir le prochain volet.
Merci pour cet article !
J’aimeAimé par 1 personne
Quel joli commentaire ! Ahhhh ça me fait plaisir que le côté nostalgique soit ressorti, c’était le but !
Ce côté d’Horizon a beaucoup déplu malheureusement et pourtant c’est à mes yeux une de ses forces.
Merci à toi de l’avoir lu et analysé jusqu’au bout !
J’aimeJ’aime
Alors la je savais que Monkey était inspiré du personnage de Son Wukong mais pas que l’histoire du jeu s’inspirait autant de la pérégrination vers l’ouest.
Pour ma part j’ai aussi plus senti le côté post-apo sur Enslaved, ou du moins le sentiment de solitude. Je ne sais pas pourquoi mais j’associe énormément le post apocalyptique et la solitude. Et dans Horizon j’ai, à mon gout, croisé un peu trop d’humains.
Mais Horieon l’emporte dans mon coeur, des robots/dinosaures, ça fait vibrer mon coeur d’enfant qui rêvait de devenir archéologue.
Deux jeux excellent, comme ton article, qu’on se ferait un plaisir de recommencer à nouveau!
Bonnes fêtes à tous
J’aimeJ’aime
Un grand merci à toi pour ce commentaire ! En me renseignant sur Enslaved c’est là que j’ai appris l’existence de La perégrination vers l’ouest et ça m’a faiy encore plus aimer le jeu. Je trouve ça fascinant. C’est ce que je pense aussi, le jeu est à mon sens trop humain et le côté post apo’ est moindre à mon sens. Mais niveau histoire, Horizon est nettement au dessus on est bien d’accord. Bonnes fêtes à toi aussi camarade !
J’aimeJ’aime
Tu me fais totalement découvrir Enslaved dont j’ignorais l’existence. Le parallèle avec Horizon est on ne peut plus juste ! Et savoir que Enslaved est inspirée d’une oeuvre littéraire à ce point me ravit d’autant plus, tu l’imagines. Les deux jeux tirent de belles réflexions et évasions de leur monde post-apocalyptique, même si le but des robots dans Enslaved m’intrigue : pourquoi faire tant revivre des moments du présent actuel aux humains qu’ils capturent ? Une vengeance ?
Horizon m’avait énormément plu par ses paysages verdoyants de toute beauté, ses machines, la quête d’Aloy, la non-sexualisation du personnage, ou le système de leurs clans et leurs sociétés. On est quand même encore très loin d’atteindre le futur (avant la chute) qui y est décrit…
Merci pour ce beau voyage en mondes lointains et déchus, cela a été un plaisir à lire, comme un récit fait de vive voix !
J’aimeJ’aime
Je pense que tu es celle dont j’attendais le plus le commentaire de par le côté littéraire de l’article. Je suis trop content qu’il t’ait plu. Les deux univers sont réellement deux mondes magnifiques et remplis de mystère. Ils sont fascinants. Dans mes souvenirs, le but de la captivité des humains par les machines est relativement vague, je privilégierais l’hypothèse de la vengeance, mais je ne saurais pas te l’affirmer. Un grand merci à toi pour avoir pris le temps de me lire et pour m’avoir offert ce retour ! (Il faut que je prenne le temps de repasser sur PodCulture, j’ai 3 articles en retard ! 😥 )
J’aimeAimé par 1 personne
Ahah, c’est un honneur ! Mais oui, j’ai beaucoup aimé ces deux voyages que tu nous offres à travers cet article, c’est vraiment dépaysant et immersif à la fois.
Je vois pour la captivité des humains. En même temps, la vengeance peut être un but tout à fait compréhensible dans ce genre de post-apocalypse… et c’est un moteur puissant.
A bientôt sur Podculture alors !
J’aimeJ’aime
J’arrive après la bataille mais j’ai pris grand plaisir à lire ton article. Ces articles parallèles permettent de voir les jeux sous un jour nouveau, voire d’en découvrir d’autres. Personnellement, je ne connaissais que Horizon Zero Dawn. Les références dans Enslaved : Odyssey To The West, ont l’air nombreuses et sympathiques. Il me tarde de te relire. Plein de courage pour cette année 2021.
J’aimeJ’aime