[Test] Dying Light – Voyage en zone de qu’Harrantaine

Bienvenue à vous, je vous en prie prenez place. Vous êtes là pour ? Lire un article? Ah je suis désolé ça ne sera pas possible aujourd’hui. Par contre je peux vous proposer un saut en parachute … Comment ça vous avez le vertige ? Vous croyez qu’ici au Groupe de Ravitaillement et d’Entraide on a quelque chose à foutre ? Allez, prenez votre parachute. Où allez vous être larguer ? Dans la ville d’Harran, en Turquie. Pour y faire quoi ? Je vous dirais ça quand vous aurez foulé le sol turc. Allez y suivez mon collègue, M.CRANE il va vous équiper. Oh au fait j’oubliais ! Vous êtes à jour de vos vaccins ? Mmmh … Non, non comme ça, simple curiosité … J’espère que vous courrez vite alors …

Bienvenue dans Dying Light

Le jeu Dying Light est un survival horror développé par le Studio « Techland » et édité par Warner Bros. Le 27 février 2015 en Europe. Vous êtes un agent du GRE (comme cité plus haut, le Groupe de Ravitaillement et d’entraide.) Votre mission est de pénétrer la ville d’Harran en Turquie. Ville en quarantaine à cause d’agent pathogène dérivé de la rage qui a malheureusement frappé la majeure partie de la population humaine. Vous devez survivre au sein de cet univers hostile afin de retrouver un homme du nom de Kadir Suleiman (appelé Raïs, ouais pas dingue comme nom.) qui détiendrait des informations relatifs à la création d’un vaccin du virus qui ravage Harran petit bémol c’est devenu un malade mental au même titre qu’un antagoniste de Far Cry. Le jeu est un FPS dans un immense monde ouvert, et vous aurez la mission supplémentaire de montrer au monde entier, que la ville turque ne regorge pas que de cadavres, mais également de survivants ayant besoin d’aide. Mais, parlons un peu plus dans la prochaine partie de l’article !

« Good Night, Good Luck. »
Une ambiance Harran’dre fou

Nous y voila les enfants. Dying Light. Je dois dire que pour ces premiers articles sur le blog je me fais vraiment plaisir sur ce que je vous propose, je ne vous parle que de coups de cœur et celui ci, je sens que je vais prendre un malin plaisir à vous vendre cette oeuvre. Dying light m’a donné envie de l’acheter pour le côté « Parkour » du jeu. Je m’attendais à un jeu type « Dead Island », taper encore et toujours mais avec un côté parkour et ça m’avait séduit. Une fois de plus je me suis fourvoyé. D’ailleurs il serait judicieux que je sois plus ouvert d’esprit et ne pas me baser sur quelques séquences qui peuvent nous être proposer, se faire une idée par moi même d’une oeuvre, peu importe le domaine, est très important. Et ça améliorera la critique que je pourrais vous proposer, mais je m’égare.

Vous savez ce qui m’a le plus plu dans ce jeu ? « Oh oui Julian raconte nous on crève d’envie de le savoir » Quel enthousiasme ça fait plaisir. Ce qui m’a fait aimé le jeu par dessus tout, c’est l’histoire du jeu. J’ai joué à beaucoup de jeu de zombie, je ne citerais pas les Resident Evil qui sont pour moi hors catégories, et qui de par leurs opus englobe bon nombre de modèles du genre. Hormis cela, j’ai eu la chance de jouer aux Dead Rising, Dead Space (extraterrestres certes, mais quelques peu nécrosés !) Dead Island, The Evil Within et d’autres, mais de tous, Dying Light est le jeu, à mes yeux, qui contient une histoire capable de transmettre de grosses émotions aux joueurs. Le côté horreur est présent, sans trop tomber dans l’angoisse permanente. Il y’a quelques touches d’humour de par la répartie parfois de notre personnage et de par les situations auxquelles il est confronté. Quelques séquences émotions qui pourront si comme moi vous chialez à tout bout de champs, vous arracher quelques larmes. L’intrigue du jeu est amené de la plus belle des manières et après avoir atterri dans cette ville en quarantaine, il suffit de quelques secondes pour comprendre qu’on s’est mis dans une belle merde. Dans cette aventure vous rencontrerez 3 types d’individus : Les survivants. Qui vous aideront dans votre quête et vous proposeront de multiples quêtes annexes. Il y’a aussi les hommes de Raïs, des sanguinaires à la botte de l’homme que vous cherchez qui tenteront à la moindre occasion de vous abattre. Et la troisième catégorie, ce sont les zombies. Il en existe de plusieurs races, pour varier les plaisirs et les peurs. Du zombie classique ultra rapide, au zombie nyctalope surpuissant en passant pas le célèbre cracheur d’acide physiquement immonde, il y’en a réellement pour tous les goûts. Les quêtes sont diverses et variées et je dois dire que pour le coup j’ai retrouvé un des points forts de Dead Island, la diversité des missions. Je me suis vu nettoyé des zones pour établir des campements, et l’heure d’après fouiller des maisons vides à la recherche de café. Le jeu à ce niveau là développe un sacré point fort non négligeable et l’ambiance générale que l’oeuvre nous propose est à l’image du titre, mortelle.

Un des principaux points forts également reste néanmoins non pas son ambiance sombre, mais le côté running/parkour du jeu, quel pied ! Vous n’imaginez pas à quel point c’est plaisant de courir, sauter partout dans ce monde ouvert se raccrocher à une aération de climatiseur, sauter sur le portail à l’extérieur, sur le ce point là, je jeu est « génialissime ». D’autant que sauter comme un retardé, vous sera utile vu que cela développera votre arbre de compétences. En effet celui ci est divisé en 4 catégories (5 si on compte la dernière « Niveau Légende » qui se débloque après avoir achevé quelque chose) Niveau de Survivant, Niveau d’agilité, Niveau de Puissance, et Niveau de Pilote qui se débloque lord de l’achat du DLC « The Following ». Chacun de ces arbres comportent des atouts et des compétences qui vous seront utiles dans votre aventure. La possibilité de vous retourner en sprintant, des compétences de combat vous permettant de sauter à pied joint sur les ennemis ou encore les tacler. Les possibilités sont multiples et cela vous rendra le massacre de zombies d’autant plus plaisant. A mes yeux l’arbre est assez complet, et chaque catégorie se voit attribué de l’XP à chaque action dans le thème destiné. Par exemple pour le niveau agilité il faudra courir, gravir des immeubles, escalader des murs, cela fera grimper votre niveau. Pour ce qui est du niveau puissance, cela augmentera avec les combats que vous livrerez et ainsi de suite. En parlant d’XP et d’ambiance auparavant, j’aimerais aborder avec vous un point important dans l’histoire. Qui est le changement d’ambiance générale entre le jour et la nuit. Le jour vous aurez des zombies en tout genre et l’ambiance sera apocalyptique comme dans tout bon jeu de zombie qui se respecte. Mais la nuit c’est différent pour deux bonnes raisons. La première c’est que la nuit, il n’y a pas d’électricité donc pour l’éclairage il faudra faire en sorte de vous repérer avec les feux de voiture et ne comptez pas sur le reflet de la lune pour illuminer les rues. La deuxième c’est que les zombies sprinteurs sont plus omniprésents que jamais et qu’à ceux ci vient se rajouter une nouvelle menace. Des zombies surpuissants qui peuvent littéralement vous déchirer en 2 secondes. Votre seule recours sera d’user de votre lampe torche, d’armes très puissantes que vous posséderez en fin de jeu après les avoir fabriquer et accessoirement vous servir de pièges lumineux qui feront fuir ces monstres. Pour ce qui est des zombies normaux n’espérez pas les faire fuir avec votre lampe, m’enfin, ça vous le comprendrez très vite en y jouant …

Trouvez des crayons pour les enfants ahahah! Quand je vous dis que les quêtes sont diversifiées …

Au niveau de l’ambiance sonore, je trouve que le bruitage des zombies est une vraie réussite. Bien entendu chacunes des « races » à son propre bruitage, et je dois dire que pour chacun d’entre eux, ça a accentué l’angoisse que le jeu me provoquait déjà sans cela. La musique est austère et colle bien au thème du jeu, là où je dois dire que le jeu nous tends, c’est dans les bruits que nous pouvons entendre. En plein parcours, Imaginez courir, le bruit du vent dans les oreilles, plus un bruit de porte qui se faire enfoncé par un zombie sprinteur suivi d’un hurlement. Et bah je peux vous assurer que ça angoisse qui plus est lorsque sur le radar vous voyez que des ennemis arrivent à grande vitesse. Malheureusement tout n’est pas horriblement magnifique dans ce jeu, il y’a même pas mal de défauts. A commencer par la synchro’ labiale … Qu’est ce que ça a pu être bâclé … J’en avais tellement marre de voir à quel point ce point là avait été un échec que je me suis concentré uniquement sur les sous titres, ça a parfois rendu certaines séquences importantes, gâchées. Le jeu d’acteur également … Les dialogues que les personnages peuvent avoir … Attention je ne dis pas que tout le voice acting du jeu a été de piètre qualité, mais qu’est ce que ça pouvait être fade par moments. Quand on voit que le personnage que vous incarnez a la voix de Benoit DuPac (qui fait également la voix d’Ellis dans Left 4 Dead 2) qui est une voix très connue dans le monde du cinéma, on se sent très frustré d’avoir ce genre de voix dans un jeu aussi intéressant avec un travail si bâclé de la part des développeurs. Ce sont selon moi les principaux défauts du jeu …

Jade et Brecken, deux des protagonistes principaux du jeu.
Harran’gez vous pour vous faire petit

Une fois de plus, comme dans The Evil Within et également dans A Plague Tale innocence, vous devrez être silencieux, user de votre furtivité le plus plus possible. Non pas que les morts discrètes soient utiles tant le nombre d’ennemis est infini, mais sachez que, même au sommet d’un immeuble, tirer avec une arme à feu se verra utile que quelques instants vu que vous serez vite rejoints par des petits copains ayant qu’une envie, faire un festin de vos entrailles. Après, le principe de silence et de furtivité est très relatifs dans ce jeu, on va pas se le cacher, vous courez partout, sautez sur des rambardes et des macchabées, faut pas s’attendre à du silence. Et je dirais même que le jeu est sadique aussi sur ce côté là, parce que si vous sautez d’un peu trop haut et que vous atterrissez sur une surface pouvant amortir votre chute, le bruit sera intensifié et attirera un groupe de sprinteur.

Le jeu dispose d’un mode multijoueur où vous pourrez accueillir jusqu’à 3 joueurs pour y effectuer des quêtes annexes (indispensable pour le Platine d’ailleurs) il peut en accueillir un 4e jour le soir qui lui incarnera un zombie nocturne surpuissant, son but sera de rendre votre nuit, cauchemardesque.

Là où je ne pourrais pas vous renseigner c’est concernant le DLC du jeu, « The Following » je n’ai pas eu la chance de poser les mains dessus, il y’aura même un autre DLC qui fera son apparition le 23 juillet prochain ! « Hellraid » je pense que ce serait peut être le bon moment de se remettre sur le jeu avec ses deux contenus additionnels en attendant la venue de Dying Light 2 !

« Gneu gneu faut pas tirer avec les armes à feu sinon ça attire les zombies »

Points positifs :

  • Un scénario bien écrit
  • Des personnages attachants aux multiples personnalités
  • Une belle bande son
  • Des bruitages … Délicieux
  • Du gore à en être gêné mais ça colle au thème du jeu
  • Un map de Freeruning géante !
  • Une belle diversité de zombies

Points négatifs :

  • Un jeu d’acteur bâclé
  • Synchronisation labiale médiocre
  • Légers bugs visuels

Tous les screens présents sur cet article, sont issus de mes sessions de jeu. /!\

Publié par Zaiirox

Jeune gamer de 25 ans, passionné de jeux vidéos depuis tout petit.

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